L'éternel derby: Pro Stones ou Beatles?

Pfiou, je ne sais pas ce que vous aviez consommé pendant cette tranche de vie mais je cherche en vain une ressemblance avec les Stones   

Encore trop tôt pour fermer. Je cherche une reprise des Blattes par Remy Bricka à lui tout seul.

on se doutait fortement que l'écoute des cailloux rendait sourd
merci pour ta confirmation   

Argumente un peu au lieu de jouer à l'idio-prothésiste. La voix, le son de gratte ? Avec plus d'imagination, le son de caisse claire ?

Ôte-moi le cérumen qui obstrue mes conduits

on a cessé d'argumenter vers la page 2

faut pas me la faire, Valérie

Tiens alors, à propos d'influences bien digérées, tu devrais apprécier.



Y a du Ringo Starrrrrr chez ce gars-là, non ?  

 

J'avoue avoir du mal aussi à retrouver un semblant de quelque chose.

T'es sûr que c'est la bonne vidéo que tu as postée.


Sinon,ce qui m'a fait marrer c'est ça,en fin de soirée,passe encore mais ...

lilic a écrit:

pas plus vieille que cet aprème...

Elle était bonne l'omelette au champignons du déjeuner ?

les champignons, on en revient, on en a pas trouvé... alors, soit on est un poil en avance pour les tricholomes de la saint georges, vu que la saint georges c'est demain, soit on s'est encore fait griller par le paysan du coin qui vient se servir dans not' bois qu'était le sien avant

pour les Stones et Bukka White, pas grave, laissez tomber

Quand Lester Bangs s'en mêle, ça dépote !

" ... Paul McCartney fait de charmants fonds sonores pour boutiques branchées, bien résolu à se montrer aussi insignifiant que les Carpenters ...

Band on the Run était un album magistral, dans le genre insipide ...

Ringo est indigne du mépris. Il était adorable autrefois parce qu'il était nul ...

... je ne cesse d'entendre des gens dire, avec un rien de perplexité, qu'ils peuvent toujours passer les premiers albums des Stones, mais que les vieux disques des Beatles (comme ceux de Dylan), et tout particulièrement Sgt Pepper, se couvrent de poussière sur les rayonnages ...

La mort des Beatles en tant que symbole ou signification de tout ce qu'on veut, ne peut qu'être bonne, parce que, comme la Nouvelle Frontière, leur nirvana LOVE était, pour commencer, une illusion de masse, stimulante mais ridicule, éphémère et, en définitive, impraticable ...

... j'aimerais savoir ce que j'ai manqué en ne manquant pas les Beatles ... ils pourraient bien avoir représenté une époque, au point de s'en distinguer, étant en fait totalement séparés d'elle, flottant, légers comme des pissenlits, pour reposer enfin sur le manteau de cheminée où, voisinant avec le portrait en tenue militaire d'un oncle décédé, ils peuvent être époussetés à intervalles réguliers selon les besoins des livres de comptes de EMI-Capitol et de notre propre incapacité à faire face au présent"

Extraits d'une chronique parue dans Creem en 1975, "Le dépérissement des Beatles"   

Et depuis, Macca est encore vivant et Lester Bangs est toujours mort  

Nowhere Man a écrit:

Et depuis, Macca est encore vivant

Et c'est bien là le drame (je parle de sa longévité artistique, of course)   

venant tout juste d'arrivé , j'me ballade et je tombe la dessus ,
l'éternam question .

de mon avis perso , les beatles on viré sur la pop because ils étaient influancés par le rock'n'roll des 50,s ,
alors que les stones leur influances étaient le chicago blues urbain d'après guerre , donc logique selon moi
qu'ils ont évolués vers un rock-blues plus dur .

maintenant , je n'ai jamais été plus vers les un ou les autres , je pense que les deux groupes ont apporté à
chacun leur pierres à l'édifice si j'puis dire ,

par contre en période stonienne , ma préférence va ( sans aucune hésitation ) vers celle de taylor ,
pour moi la plus créative avec des albums que vous savez ( sticky et exile entre autre ) , des galettes à
l'époque que j'ai usé jusqu'à la corde ,
et des lives période taylor à tombé ( brussell 73 ) .

Je ne peux qu'aller dans le sens de Fred

Quand j'écoute le Beatles 65 (encore hier), I feel fine, je sais pas pourquoi

big' a écrit:

Quand j'écoute le Beatles 65 (encore hier), I feel fine, je sais pas pourquoi

tout simplement parce que c'est ............bon .

juste la traversé

brussell 73 ,

brussell 73 , le derniers bastions des pierres qui roulent .

le 17 oct 73 , la cavalerie rock stolienne débarque en terre belge .
show percutant de la période la plus prolifique des stones ( taylor ) .
véritable armée moyenageuse décimant tout sur son passage .

midnight rambler est au blues rock se que hendrix à été pour la strat , incisif , percutant .

ses gars la ne sont pas la que pour un concert de légende , mais pour bel et bien
marquer les esprits , pour peut qu'ont ni tende l'oreille .

jagger déboule sur scène telle un diablotin sautillant frénétiquement , agrémenté de
son plaintif , oréolé de gémissement grimaceux tel un animal hermaphrodite ,
gettant ses proies , groupies chauffées à point , ne savant que faire de leur majeur
devant cette apparition démoniaque enchanteresque .

keith , à depuis un moment quitté le royaume des vivants , se complaisant dans celui des ombres , à coup de potion chevalresque agrémenter de jack's daniel de
grand cru .
sa rythmique est telle un dome vasillant sous les sabots de mustang galopant
tombeau ouvert vers le large .
ses yeux ne sont plus que blancheur larmoyantes , errant depuis longtemps dans le
couloir des ténèbres .

bill lui , figé comme une potence , tel un requin attiré par l'odeur du sang , calme
olympia et passiance de rigueur , reniflant ses prochaines victimes , à la recherche
d'un regard d'une fan égarée , pour combler le vide d'une loge de prison dorée .

taylor est son coin , protecteur de lui-mème , se protégeant de chorus guitaristique
tranchant comme une guillotine , sisallant les avancées de la grande fau .

charlie , joyeux lurons , contemple avec désinvolture cette armada d'individus
fantomatique tombé entre le son de ses disciples , attendant son heure , celui de retrouvé un jeu jazzamatique plus serein .

quand midnight rambler se termine , le public est anéanti , vidé de sa source vitale,
regroupant ses dernières forces pour le tapage d'aplaudissements .
les cascades d'entrecuisses de ses demoiselles frétillant à la vue de leur hote ,
sont à sec , ayant épuisées leur réserve .


un an plus tard , taylor quittait le navire de ses inquisiteurs pour retrouver la
sereineté d'un pardon , de celle qu'a chercher en vain jones .
la boué de sauvetage stoniènne se prénomera ron wood , mais c'est une autre
histoire .

le 17 octobre 73 , les stones terminaient de gravées les tablettes du rock , la ou les
avaient laissés incomplète d'autres parti pour le repos éternel .

la première fois que j'ai écouté brussell 73 ,
j'avais enfin trouvé mon chapelet .




une version qui décape