Nos disquaires préférés

un article qui dit tout le bien que j'en pense tout bien comme je le pense dans Hartzine

lilic a écrit:

ah oui, j'allais oublier: faites-moi penser à vous prendre un jour la tête avec cet Ornette Coleman Double quartet

je l'ai écouté moi, mais comme justement c'était l'heure d'aller prendre ma douche, j'ai pas tout entendu... en tous cas, quand je suis sortie, j'ai eu l'impression étrange qu'une interruption de l'espace-temps s'était produite durant mon savonnage (pourtant soigneux à l'excès), vu que musicalement parlant on en était exactement au même point.... ERREUR ! (j'évitai alors de justesse un projectile scélérat, du freejazz au freesbee finalement y'a quoi, une tongue) .... parait-il qu'il se passait des trucs, pleeeeeeeeeeeeeeeeeein de trucs...

vivement le détail !

en direct de chez notre disquaire préféré, qui à ses heures fait aussi librairie, bar lounge, danceteria, plage (sous les pavés), solarium...







photos Secret Agent

J'veux bien le Rezillos...

accordé, Méco

je prends la fille

J'te donne même le chapeau de chasseur avec!

il me donne le sapeau de sasseur

Elmeco a écrit:

J'veux bien le Rezillos...

comment t'as deviné que c'était ton cadeau d'anniv ?

Ouh la en forme..trop fort pour moi, m'en vais regarder une série z qui fait pas mal au crâne.

Isabelle a écrit:

Elmeco a écrit:

J'veux bien le Rezillos...

comment t'as deviné que c'était ton cadeau d'anniv ?

Haaaaa? J'savais pas ... j'viens de te donner l'idée en fait ?!

pas du tout, je l'ai pris pour toi... demande au Rev si tu me crois pas

Je confirme....

Excellent choix. Yardbird approved

Je ne fais que des excellents choix..! hé!

oui oui, moi aussi, en toute modestie bien sûr

par exemple Endless Boogie






Sur la pochette, un troll. Pas un troll d’internet, mais un bon vrai vieux troll des forêts scandinaves, peint en 1906 par le Norvégien Theodor Kittelsen. Ce troll géant est coiffé comme Paul Major, le leader du groupe new-yorkais Endless Boogie. C’est sans doute son ancêtre. Endless Boogie joue de la musique d’avant, mystique, sauvage et dangereuse, comme l’ont pratiquée pendant des décennies, de John Lee Hooker zaux Stooges, des générations de magiciens noirs.

Du heavy-blues psychédélique extatique et agressif, des chansons répétitives qui durent en moyenne dix minutes, une bacchanale sonique illicite et jouissive. Pas de revival en costume d’époque chez ces vieux briscards, mais la transmission du feu sacré, dont il faut avoir peur. Après avoir vécu dans l’underground durant pas mal d’années, ce groupe incontestablement unique et génial commence à se faire entendre, et pas seulement parce qu’il joue fort. Les ORL se frottent les mains.

Critique des Inrocks, c'est bien dit


et j'y crois pas, ils ont joué à Paris le 17 avril dernier et JE LE SAVAIS MEME PAS !!!!!!

alors deux trucs:

- le premier n'a qu'un lointain rapport, mais faut quand même que je l'écrive parce que ça pourrait m'éviter de l'oublier: dimanche soir, Powersolo joue à la salle des fêtes de Puymirol, un trou village voisin... ces mecs étaient les musiciens de Heavy Trash, avec Jon Spencer... parfait pour un dernier soir de vacances

- sinon, my Zaza, j'ai enfin réussi à télécharger la version numérique du Long Island d'Endless Boogie, tu pourras donc aussi l'écouter en bagnole

Désolé de vous interrompre mais si vous passez à Marseille, il est encore temps de faire un crochet par Massilia Records (cours Lieutaud). Tout le stock (vinyles,cd) est à moitié prix (sauf le rayon Stones, y a des choses qui ne se bradent pas ) et il y a encore de quoi faire.

Les 33t en bon état sont affichés entre 8 et 20€ pour la plupart. A 50%, il y a donc un paquet de bonnes affaires. Pour ma part, T. Buckley, Byrds, R. Cooder, B. Seger, Donovan, L. Kottke, Pretty Things et deux ou trois obscurités.

tu ne nous déranges absolument pas, passe quand tu veux

Marseille c'est pas prévu pour l'instant pour cause de distance, mais à la faveur d'une escapade, nous ne manquerons pas de rendre visite à ce sympathique bouclard

ah ! ils sont bien ces Endless Boogie ! voilà-t-y pas que le code de téléchargement de notre beau vinyle semblait bugger... ni une ni deux, Lilic envoie un petit message pour exprimer notre désappointement et hop, quelques jours plus tard, un nouveau code !

Isabelle a écrit:

à la faveur d'une escapade, nous ne manquerons pas de rendre visite à ce sympathique bouclard

Sauf saut-express, il aura sûrement fermé d'ici là. En tout cas, il y aura moins de choix pour vos oreilles exigeantes, vu que la braderie a commencé il y a déjà plus d'un mois.

En résumé, faut se magner. Que les locaux (s'il y en a) se le disent.

ah... ben c'est un départ à la retraite ou une liquidation alors.... un disquaire qu'aura pas eu la chance d'être préféré par suffisamment de monde... une bien triste nouvelle et tellement dans l'air du temps...

En fait, je ne sais pas exactement. Je crois que le bouclard (assez quelconque d'ailleurs) existe depuis longtemps, l'enseigne aussi. C'est plutôt que le fonds change régulièrement de gérant, l'actuel étant là depuis deux ans environ. D'après ce que j'ai cru comprendre. Mais bon, c'est Marseille, faut pas forcer les explications. Déjà plusieurs morts depuis la dernière Toussaint. Il faut rester prudent.


Non, c'est bon, je plaisante. Le gars était très sympa. Et en Stones, il y a du collector, le peu que j'ai pu voir. Mais pas à 5 euros. Plutôt 60 et plus.

C'est un disquaire qu'avait pas les bons codes.

Euh, j'arrive pas à décoder le contenu du précédent message

Un bien sympathique disquaire à Montpellier. Il tient bon depuis 20 ans : Black/Blue ! Bien fourni, tous les genres sont représentés, moitié cd/moitié vinyle.

On peut tomber sur de jolies galettes :



Et apprendre qq trucs qui marchent :

- pour décoller les étiquettes coriaces (en tout cas celles de prix en papier), imbiber localement de white spirit à l'aide d'un pinceau (peu importe que ça déborde sur le carton), attendre que ça absorbe, tenter de gratter sans forcer, recommencer l'opération si nécessaire, ça finira par partir et l'alcool qui fait tache finira par s'évaporer sans laisser de trace,

- pour nettoyer le vinyle des traces de doigt et autres, frotter énergiquement mais pas trop quand même (et circulairement) à l'aide d'un sopalin imbibé d'éthanol à 90° (généralement vendu sous le nom d'alcool ménager, il faut juste vérifier que la formule est la bonne et qu'il n'y a pas d'adjonction de parfum).

Techniques testées en direct sur ce blounote original (mais stéréo, le mono coûtant un rein). Même pas mal.

il a l'air très joli ce magasin

pour les étiquettes, l'eau écarlate et l'essence à zippo marchent bien aussi