Le centre Pompidou acceuille l'exposition itinérante de cet artiste mexicain né en 1962
Après le MoMA de NY et avant Londres,l'exposition dure jusqu'au 3 janvier.
J'y vais le 18 octobre pour ma part .
Orozco est un artiste difficile à cadrer,d'abord parcequ'il touche à tout.
Fils d'un peintre muraliste de Mexico,il est passé par des études d'arts plastiques.
Peinture,sculpture,dessin,collage,photo...
Et puis mis à part de parler d'art contemporain,difficile de caractériser son travail.
En gros,il utilise le monde extérieur comme matériel au sens premier du terme et cherche à attirer le regard du spectateur avec ce qu'il fait.
Le mouvement,le corps sont des thèmes de prédilection pour lui
Je ne saurais pas quoi dire d'autre,donc je vous invite à aller voir des gens qui en parle bien sur le net,ce sera plus simple.
80 oeuvres sont exposées et c'est la première fois pour la plupart d'entre elle ,tout au moins en France.
Orozco vit à New-York mais n'a pas d'atelier ni de galerie fixe.
L'expo ,c'est donc des photos comme ce chien endormi sur le sol :
L'artiste qui se met en scène avec le moulage de l'espace intérieur de ses mains (My hands are my heart )
Ce rouleau japonais constitué uniquement des numeros de telephone du botin de NY. (Dial Tone)
La fameuse DS coupée et ré-assemblée (1993)
Les quatre vélos,imaginé lors d'un séjour en Hollande et désormais rendus inutilsables (There is always one direction)
Son fameux échiquier de 256 cases avec uniquement des cavaliers comme dans une prairie (Horse running endlessly)
Et bien d'autres à découvrir sur Google ou en allant voir l'expo ,c'est mieux.
Un catalogue est édité à l'occasion.
50€,270 pages pour 1kg400 ( format 30x 23 cm)