Le Blues

Deux vidéos de Buddy Guy tirées des bonus DVD de l'excellentissime film de Tavernier,Dans La Brume Electrique.

Buddy Guy y joue un guitariste indic et ancien bagnard.



A noter la présence aussi de Levon Helm dans un rôle de fantome.


Stone Crazy


Damn I Got The Blues

Parce parler Blues sans parler de Mister BB. King c'est comme parler foot sans parler de du roi Pelé!!! D'ailleur kiki sais koi k'ça veut dire B.B???

BB King; Lucille:


Muddy Waters; The Blues Had A Baby, and they name it rock n'roll:


Luther Allison, vu son fils Bernard au festival du Blues de Cahors (chez moi) en 2006-2007 je sais plus... enfin bref le gros gros pied !!


Edit, j'ai pas pu les voir en duo, Luther est mort en 1997 !!!

James Cotton: Slow Blues

Dans la série,y'a pas besoin de grand chose pour faire un bon blues !


JOHN LEE HOOKER - Tupelo, Mississippi

j'aime bien ça comme blues



pour moi c'est un beau tribut

Edit:Ton lien ne marchait pas.Je l'ai édité,j'espère que c'est la bonne vidéo.
L'Anat'.

Des gars pas très connus mais que j'écoute de temps en temps, toujours avec plaisir
Preacher boy and the natural blues



Et Allan Haynes

merci l'anat c'est le bon lien.

décidément moi et les vidéos

leflaneurbreton a écrit:

j'aime bien ça comme blues



pour moi c'est un beau tribut

Edit:Ton lien ne marchait pas.Je l'ai édité,j'espère que c'est la bonne vidéo.
L'Anat'.

Ana Popovic

Un des pères du British Blues Boom,l'harmoniciste anglais Cyril Davies :


Cyril Davies All Stars featuring Long John Baldry. 1963

L'Anat' a écrit:

Dans la série,y'a pas besoin de grand chose pour faire un bon blues !

JOHN LEE HOOKER - Tupelo, Mississippi

J'ai toujours aimé Papa John Lee pour ça précisement, le coté "roots" mais qui balance grave, enfin pour moi...

Je trouve qu'Hugh Laurie s'en sort pas mal du tout.

Au début,je dubitais un peu sur sa voix qui manque un peu de coffre,mais finalement ça passe.

L'album est composé de reprise et le choix est bon,sans surprises tout de fois.

1. St. James Infirmary (Louis Armstrong / Snooks Eaglin )
2. You Don't Know My Mind (Lead Belly )
3. Six Cold Feet ( Leroy Carr )
4. Buddy Bolden's Blues (Jelly Roll Morton )
5. Joshua Fit The Battle Of Jericho (Sister Rosetta Tharpe )
6. After You've Gone (Bessie Smith / Fats Waller )
7. Swanee River( Ray Charles / Dr. John )
8. The Whale Has Swallowed Me( J.B. Lenoir )
9. John Henry ( Memphis Slim / Snooks Eaglin )
10. Police Dog Blues (Blind Blake )
11. Tipitina (Professor Longhair )
12. Winin' Boy Blues (Jelly Roll Morton )
13. They're Red Hot (Robert Johnson )
14. Baby, Please Make a Change (Mississippi Sheiks )
15. Let Them Talk ( James Booker)



Baby please make a change (Avec Tom Jones)



You don't know my mind de Lead Belly


En direct live,il se débrouille plutôt bien au piano et à la guitare.


Hugh Laurie - Swanee River Later with Jools Holland April 19th 2011



Hugh Laurie on french TV show singing Winin' Boy Blues

Le blues, ça a l'air tout bête. Le plus dur, c'est de trouver les paroles.


Gilbert Lafaille / Neuilly Blues

Pas trop le genre de topic où j'aurais pensé poster un jour, mais bon, ya que les cons pour pas changer d'avis.

Extrait du premier LP Bluesvibes (1969) de Aum, groupe psyche/blues US.
Seule cover de leur album, voici leur version de Tobacco Road, à mi chemin entre de l'old school et une version White Stripienne...

Quand Randy Weston, pianiste jazz, s'y met :


Volcano Blues

Encore et toujours Gil Scott Heron.


The Get Out Of The Ghetto Blues

Robert Jonhson: Phonograph Blues:

La définition du Blues selon Willie Dixon :

"The blues is the roots, the rest is the fruits."

Janis Joplin et Kaukonen.

Pas banal

Tony Joe White et sa voix d'outre tombe !!!

L'Anat' a écrit:

La définition du Blues selon Willie Dixon :

"The blues is the roots, the rest is the fruits."

in the beginning there was only the blues

Citation :

Ce n’était plus « Salt Peanuts », l’heure de l’apéritif était passée depuis longtemps, c’était la musique de la nuit qui coulait là ; celle des hommes qui ont faim d’autre chose, et que toutes les cacahuètes arrachées à la terre par leurs ancêtres des décennies durant ne sauraient jamais apaiser. Quand au sel, c’était celui de la sueur et des larmes. Moi, petit blanc qui battais la mesure derrière ces hommes de couleur, aussi proche d’eux que je me sente, quand ma main droite frappait la cymbale, je ne pouvais éviter d’y voir l’image d’un fouet. A chacun sa croix. Eux avançaient au bord d’une route, noyés d’alcool et de fatigue, moi j’étais là pour les empêcher de s’écrouler. Et je buvais au même goulot qu’eux.

Ainsi les chaînes que nous avions mis tant d’énergie à briser puis à lancer au loin nous pèsent toujours, comme les membres amputés des blessés de guerre les font souvent souffrir. Et nous les agitons pour calmer la douleur.


Maxime Lemuel, New York, 1948

Faudra que je le ressorte ce live à Massey Hall.

Je l'ai dans une version intitulée "le plus grand concert de jazz de tous les temps". Largement exagéré (et son pas terrible) même si combo de rêve : Dizzy Gillespie, Charlie Parker, Bud Powell, Charles Mingus et Max Roach.

Sinon, plus blousiquement parlant, je bloque (*mot du jour) sur Hound Dog Taylor et ses HouseRockers.


She's gone


Give Me Back My Wig

Les Clapton et SRV sont loin derrière.

moi aussi je suis restée kéblo sur Hound Dog Taylor


c'est très beau ce passage que tu cites, Lilic...
mais c'est qui Maxime Lemuel ?
et j'ai pas bien compris d'où vient la citation

Mais si, tu connais, Isa.
Maxime Lemuel, c'est ce type qui a vu libéré un ours.

Et la citation vient de ma table de cuisine, fournée du petit matin...

ah mais merde, Lilic, faut pas écrire petit !!! faut que le monde sache !!!