King Crimson

De belles reprises en trio jazz avec Ian Wallace (ex-batteur de KC) et des morceaux de fretless bass à l'intérieur ...




Red

Y en a d'autres su'l tube !

Pour en revenir à l'original et à sa grande période, ne pas négliger les enregistrements live 73/74 regroupés en coffret 4CD puis en deux doubles CD : The Great Deceiver

Faut pas être hostile au genre ni au groupe parce que c'est la totale. Mais ça joue !


Easy Money


Book of Saturday



P.S. Liens de première page réparés. Jusqu'à quand ?

Starless Live 1974 ...



Bruford, Wetton, Cross et Fripp, la grande époque

big' a écrit:

Bruford, Wetton, Cross et Fripp, la grande époque :

Ouais sans doute , et quelques années (82) plus tard jolie "Resurrection" avec le fidèle Brufford plus Tony Levin et Adrian Belew au chant.

Le Prog' a fait long feu et c'est l'influence grandissante (que l'on a presque oublié aujourd'hui) des Talking Heads et du gourou commun Eno qui aiguillone Fripp persistant à jouer assis , sapé comme un musicien d'André Rieu.




King Crimson : " Neal and Jack and Me "

Hommage à Kerouac et Neal Cassady épris de bougeotte par un guitariste souvent inspiré mais vissé à sa chaise (comme Steve Hackett)......

Encore un bon bouquin qui vient de sortir dans la collection "le mot et le reste" :


KC / A. Leroy

Je l'ai pas fini. C'est chronologique. La disco studio avec, en regard, les lives. Et une bonne intro qui m'a mieux fait comprendre pourquoi c'est un groupe qu'il est bien et que je l'aime.

Edit : Et j'apprends qu'Elton John avait été pressenti (pas longtemps) pour remplacer Greg Lake au chant sur le 2° alboume. Manifestement, il ne faisait pas l'affaire. On l'a échappé belle

Deux autres pointures qui auraient pu intégrer le groupe pour l'enregistrement d'Islands, quand les places au chant et à la basse étaient vacantes : Julie Tippetts (ex-Driscoll) et Bryan Ferry. John Wetton s'était aussi manifesté pour prendre les deux postes mais ils avaient été pourvus entretemps.

Y a des fois où ça tient à peu de choses, hein ?

Je viens de finir le bouquin. Que je conseille à ceux que la disco de KC intéresse. On en apprend pas mal, sans que ce soit trop détaillé, sur les conditions dans lesquelles les albums ont été faits, les embrouilles avec la maison de disques, les reformations, les grands projets un peu fous de R. Fripp (drôle de gus un brin barré et égocentrique), ses rivalités avec A. Belew, etc.

Et j'ai ainsi appris qu'il y avait un site consacré au groupe, Elephant Talk. C'est en anglais, j'ai à peine survolé mais j'ai l'impression que c'est une mine. Au moins pour les complétistes.